lundi 21 novembre 2011

O.V.N.I

L'idée pour mon projet m'est venue après avoir consulter les archives de mon père sur les o.v.n.i.
Je me suis lancé dans des recherches aux archives de l' Hérault sur ce sujet, et je n'ai trouvé qu'un livre: Mystère en Pays d'Oc de Bruno BOUSQUET. Celui ci réfère tous les témoignages qui ont eut lieu dans l' Hérault sur les ovnis et on peut noté de la part de l'auteur qu'il s'agit d'une des régions qui en a récolté le plus.

Dans ces témoignages ce sont les descriptions d' o.v.n.i et soucoupe volante qui m'ont intéressées : l'évolution de l'imagerie des gens qui se retrouve dans ce qu'ils décrivent, dans ce qu'ils ont vu.
On peut remarqué des thermes qui reviennent souvent, mais aussi des "vagues" de témoignages, j'ai interpréter à ma façon l'image qu'ils ont vu et décrit.

J'ai réalisé une série de petite peinture/dessin chronologique qui représente ces différentes descriptions, l'image, la date et le lieu remplace un témoignage et sa description le tout tenu dans une seule fiche. Elles sont disposées dans une boîte en bois afin d'être consultable librement.







vendredi 18 novembre 2011

Le bruit de la révolution

Bonjour à tous, j'ai pour projet de travailler sur les révoltes étudiantes de Montpellier en 1968.
Le but de mon travail est de montrer que les évènements de mai 68 pourraient se reproduire aujourd'hui, que les propagandes utilisées pourraient encore soulever les foules. Révoltez-vous!
J'aimerai travailler sur "le bruit de la révolution".

Les archives sonores sur le sujet manquent à l'appel. Je vais enregistrer mes propres vocalises à partir de coupures de journaux de 1968.
Je pense que je ne montrerai pas d'images afin de dé-contextualiser l'évènement.

Pour diffuser ce travail j'aurais donc, à priori, juste besoin d'un espace ou poser un moyen de diffusion sonore et un casque audio.

Vanessa Roussel

samedi 12 novembre 2011

Nicolas JEANNE ENSAM - La numérisation


Constat de départ : LE PARCHEMIN

J’ai trouvé sur le site des Archives départementales des versions numérisées de parchemins et autres documents anciens. Certaines semblent être à l’origine d’un scan ou d’une photographie des documents originaux. Leur lecture est proposée par l’intermédiaire de visualiseurs interactifs ou simplement de formats Jpeg.

J’ai constaté CERTAINES PARTICULARITÉS à ces documents numériques.

Des informations peuvent être perdues :

Les textes sont souvent illisibles à cause de la numérisation ou de l’état du document original : la calligraphie inhabituelle, le langage ancien ou étranger, l’usure du document original, le contraste de la version numérisée, la transparence de certains papiers, etc.

Le format du document n’est pas représentable à l’écran, le lecteur ne peut avoir immédiatement une idée de la taille du parchemin original. De plus, même si le scanner atteint des optimums de qualité et de précision, la version numérique reste un ensemble de pixels carrés.

La texture du document, surtout lorsqu’il s’agit d’un parchemin réalisé à partir de la peau d’un animal, n’est pas retranscrite dans la version numérisée. De même que l’épaisseur, l’aspect au toucher, les imperfections de forme, le relief, les plis, la brillance, etc.

Pourtant, certaines informations sont relativement bien retranscrites :

La calligraphie du document original est retrouvée, ainsi que la couleur du papier et de l’encre. Les contours de la peau d’animal ou du papier ancien sont aussi visibles. Et si le document original est retranscrit dans une échelle précisée, alors il peut reprendre son véritable format sur un écran conséquent ou une fois imprimé.

Des avantages de la version numérique, justifiant sa création, sont notables :

L’élément est infiniment et instantanément duplicable. Il est véhiculable n’importe où, offrant une visibilité pour tous (site internet). Il est matériellement très réduit (disques durs). De plus, une version numérique, n’ayant pas d’échelle, peut être zoomé et dé-zoomé jusqu’aux limites de la pixellisation. La numérisation d’un document original permet aussi un meilleur confinement pour la conservation.

D’autres méthodes de numérisation pourraient compléter les informations retranscrites :

Si, pour un parchemin numérisé, la forme de l’écriture semble prioritaire, le fond est largement négligé. La numérisation de ces écrits par une retranscription des caractères sur un fichier texte (Word) apporterait de nouvelles informations d’une toute autre nature : le contenu du texte.

Pour finir, un paradoxe s’installe entre la tentative de conservation du document et la retranscription numérique faite de ces documents anciens : L’usure du temps de ces parchemins est largement mise en valeur dans leur version numérique, comme s’ils prenaient tout leur intérêt dans la matérialisation de l’usure.


LE NUMÉRIQUE PEUT AVOIR TROIS AMBITIONS

Apporter un supplément de visibilité par l’intermédiaire de l’informatique à un document réel. Cette ambition semble concerner les parchemins ainsi que bien d’autres documents.

Remplacer un document original réel. Si à partir de la version numérisée d’un document original, nous pouvons créer un nouveau document réel dont les différences avec le document original sont nettement négligeables, alors nous pouvons détruire la version originale. Ainsi la version numérisée deviendrait l’unique version.

Si cette ambition semble aujourd’hui, avec les outils de l’informatique des archives départementales, impossible à appliquer à des documents tels que les parchemins, elle est par ailleurs applicable à beaucoup d’autres documents.

Etre le document original. L’informatique devient dans de nombreux services le medium premier de la création d’un document (photographie numérique, textes, gabarits, conception tridimensionnelle, etc.). Ces services qui auparavant archivaient leurs documents papiers aux archives départementales n’ont plus qu’à envoyer les versions numérisées originales. Ce changement de méthode d’archivage exclut le processus de numérisation.


DE CES CONSTATS DÉCOULENT PLUSIEURS PROBLÉMATIQUES

Comment élargir les ambitions du numérique dans l’archivage ?

Il peut s’agir ici d’expérimenter, artistiquement, une nouvelle méthode de numérisation d’un document de n’importe quel type présent aux archives départementales. Il peut s’agir aussi de compiler plusieurs méthodes de numérisation pour rendre complet la numérisation d’un document original réel jusqu’à la possibilité de sa destruction. Par exemple, il pourrait être intéressant de prendre un objet imposant présent aux archives : une maquette d’architecture, un très grand rouleau de papier imprimé, une gravure sur bois, et de tenter de le retranscrire numériquement.

Quels sont les différences de perception entre un document original et sa version numérique ?

Pour l’exemple du parchemin, les effets de la numérisation sur la perception sont décortiqués singulièrement. Il peut s’agir maintenant de rendre compte de façon artistique cette différence de perception.

Etc. (d’autres problématiques sont en cours de réflexion)


Il me serait beaucoup plus simple et agréable de travailler à cette création artistique autour d’un dialogue plutôt que seul et sans esprit critique. Pour cette raison et pour jouer le jeu de la collaboration ENSAN-ENSBAMA, je recherche un ou plusieurs partenaires pour travailler sur l’une de ces problématiques ou sur d’autres propositions de problématiques découlant à priori de ces constats.

Nicolas JEANNE

dimanche 6 novembre 2011

Les Réseaux (suite).


Les Réseaux.

Je me suis interessé au réseau après avoir vue les cartographies du languedoc roussillon.
Partant plus sur l'idée d'une structure, j'hésite entre le fait de vouloir recréer cet univers aplati qu'est la carte en un objet tridimensionnel ou alors de m'interesser plus aux caractéristiques physiques du réseaux éléctrique du vieux montpellier.

Dartois Julien, ESBAMA

vendredi 4 novembre 2011

Rappel sur les horaires


Les Archives départementales de l'Hérault sont ouvertes au public :

du mardi au vendredi de 9 heures à 18 heures sans interruption

  • le mardi, seule une permanence est assurée (pas de magasinage). Merci de réserver vos documents à l'avance.
  • Du mercredi au vendredi, la salle de lecture fonctionne normalement, de 9H à 18H (dernières commandes : 16H45).